Ophélia ne va pas bien.
Nous avons mené la dernière bataille avec elle sans savoir que c’était perdu d’avance.
Aujourd’hui nous savons, la fin est proche, inéluctablement.
Il est trop tard pour se battre, il faut maintenant préparer dignement son départ.
Ophélia va bientôt rejoindre le monde des rêves.
La meilleur représentation en est la peinture de ma mère. Il montre l’intérieur de l’appartement à Malakoff, fenêtres ouvertes sur le petit jardin printanier de chez ma mère à la Tour du Pin qu’elle avait tant aimé parcourir…