« Je voudrais être heureux. »
Certains détruisent la vie, les autres, le monde pour se réchauffer le cœur. Les extrémistes et intégristes politiques, religieux et/ou philosophiques semblent impatients de transmettre la terreur et la haine pour assurer leur propre bonheur.
D’autres partagent au contraire l’amour, l’amitié, la compassion et l’humanité. Individuellement, via une association caritative ou humanitaire, on transmet un peu de bonheur à quelqu’un qui en a besoin pour en retirer soi-même du bonheur.
Si des comportements opposés amènent du bonheur, c’est peut-être tout simplement qu’ils ne sont pas la source du bonheur. La phrase « Je voudrais être heureux » est en elle-même un aveux d’échec, celui qu’on le cherche encore. Le bonheur ne se recharge pas, ne se remplit pas, ne sature pas, ne se vole pas.
Le bonheur est un état d’esprit, il se décrète.
Le bonheur, c’est dans la tête.